Contacts for the STCA campaign -- contacts pour la campagne ETPS
Numéros de téléphone à Ottawa et dans la circonscription -- Phone numbers in Ottawa and Constituencies:
Petitions:
- Prime Minister/Premier Ministre Justin Trudeau – [email protected] 613-992-4211 or 514-277-6020
- Minister/Ministre of Immigration and Refugees, Marco Mendicino- [email protected] 613-992-6361 or 416-781-5583
- Minister of Public Safety/Sécurité Publique, Bill Blair – [email protected] 613-995-0284 or 416-261-8613
- MP - Députée Châteauguay-Lacolle, Brenda Shanahan – [email protected] 613-996-9287 or 450-691- 7044
- MP - Députée Salaberry-Suroît, Claude DeBellefeuille– [email protected] 613-995-2532 or 450-371-0644
- Conservateurs - Conservative Porte-parole Immigration Critic, Peter Kent [email protected] 613-992-0253 or 905-886-9911
- NPD -NDP Porte-parole Immigration Critic Jenny Kwan [email protected] 613-992-6030 or 604-775-5800
- Chef des verts - Leader of The Green Party Elizabeth May – [email protected] 613-996-1119 or 250-657-2004
- Bloc Québecois Porte-parole Immigration critic, Christine Normandin- [email protected] 613-992-5296 or 450-357-9100
- Chair of Standing Committee on Citizenship & Immigration, Salma Zahid - [email protected] 613-992-6823 or 416-752-2358
Petitions:
Talking Points -- Points de discussion (français ci-dessous)
Feel free to select the points that matter most to you in your phone call or e-mail message -- veuillez sélectionner les points qui vous importent le plus dans vos appels ou courriels :
Canada must end the Safe Third Country Agreement with the USA and send a clear message that we do not support the President’s policies and xenophobia
Le Canada doit mettre fin à l'ETPS et envoyer un message clair indiquant que nous n'appuyons pas les politiques xénophobes du président.
- The US cannot be considered a ‘safe third country’ for asylum seekers.
- When Canada returns asylum seekers to the USA because of the STCA, they are at risk of being deported back to danger in their homelands because of failures in the US asylum system and lack of legal help in detention. Thus, Canada fails in its duty of protection towards people seeking refuge here.
- People fleeing extreme violence (gang violence – murder, rape, extortion, forced recruitment) in Honduras, El Salvador and Guatemala are being prosecuted in the US for ‘illegal’ entry and treated like criminals.
- Women can no longer be recognized as refugees in the US on the basis of domestic violence and gang rape. Canada recognises these gender- violence based claims.
- Over 8000 (as of June 2019) children have been brutally and recklessly separated from parents – without a plan on how to reunify them. Despite a policy 'reversal', these separations continue. These children have been traumatized and many are being kept in terrible conditions without regard for their welfare.
- Children are being used as pawns to pressure desperate parents to waive their asylum claim and accept deportation so they can reunite with their children.
- Misrepresentations of irregular asylum seekers as ‘illegals’ is weakening support for refugees and being used to recruit to far- right groups espousing xenophobia and white supremacy.
- RCMP resources being used at the border could be better used elsewhere.
- Winter irregular crossings put people’s lives at risk.
- 55,035 refugee claims in 2018 is not a crisis! Most of world’s 70.5 million refugees and internally displaced people are found in poor countries struggling to provide for them.
- We have the resources to accept more asylum seekers.
- Canada should also increase the number of sponsored refugees.
Le Canada doit mettre fin à l'ETPS et envoyer un message clair indiquant que nous n'appuyons pas les politiques xénophobes du président.
- Les États-Unis ne peuvent être considérés comme un « tiers pays sûr » pour les demandeurs d'asile.
- Lorsque le Canada renvoie des demandeurs d'asile aux États-Unis à cause du STCA, ils risquent d'être expulsés vers le danger dans leur pays d'origine en raison de ratées au sein système d'asile américain ainsi que du manque d'aide juridique en détention. Le Canada manque ainsi à son devoir de protection envers les personnes qui cherchent refuge ici.
- Les personnes fuyant la violence extrême (violence des gangs - meurtre, viol, extorsion, recrutement forcé) dans Honduras, El Salvador et Guatemala sont poursuivis aux États-Unis pour « entrée illégale » et traités comme des criminels.
- Les femmes ne peuvent plus être reconnues comme réfugiées aux Etats-Unis sur la base de la violence domestique et du viol collectif. Pourtant le Canada reconnaît les revendications portant sur la violence fondée sur le sexe
- Plus de 8,000 enfants (à partir de juin 2019) ont été séparés de manière brutale et irresponsable de leurs parents - sans plan de réunification. Malgré un 'renversement' de cette politique, ces séparations se poursuivent. Les enfants ont été traumatisés et beaucoup sont maintenus dans des conditions terribles sans égard pour leur bien-être.
- Les enfants sont utilisés comme des pions pour faire pression sur les parents désespérés afin qu'ils renoncent à leur demande d'asile et acceptent la déportation pour pouvoir retrouver leurs enfants.
- Les représentations fallacieuses des demandeurs d'asile irréguliers rebaptisés « illégaux » affaiblissent le soutien aux réfugiés et sont utilisés pour recruter des groupes d'extrême droite qui embrassent la xénophobie et le Suprémacisme blanc.
- Les ressources de la GRC utilisées à la frontière pourraient être mieux utilisées ailleurs.
- En hiver les passages clandestins mettent la vie des gens en danger.
- Les 55 035 demandes de statut de réfugié en 2018 ne peuvent pas être qualifiés de crise ! La plupart des 70.5 millions de réfugiés et de personnes déplacées dans le monde se trouvent dans les pays pauvres qui luttent pour subvenir à leurs besoins.
- .Nous avons les ressources pour accepter plus de demandeurs d'asile.
- Le Canada devrait également augmenter le nombre de réfugiés parrainés.